En France, le travail de la tagua est aujourd’hui méconnu, bien qu’il ait existé et connu une certaine notoriété au début du XXème siècle, dans les fabriques de boutons en « corozo », autre nom de l’ivoire végétal.En Equateur, il recouvre au contraire tout un corps de métiers traditionnel : les «tagueros » et « tagueras » désignent aussi bien les ramasseurs-sécheurs de noix, que ceux qui les transforment, en font un premier dégrossissage, jusqu’aux plus talentueux maîtres-artisans de tagua, généralement spécialisés comme sculpteur, graveur, tourneur, teinturier…, qui collaborent entre eux.
Je suis une Taguera !
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